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    Liz Carroll, "A day and an age"!

     

    "Couleur-Parenthèse " a beaucoup à faire dans les jours qui passent!

    D'abord elle prie! Elle se sent interpellée par les souffrances des gens, les violences du monde!

    Elle prie beaucoup et s'interroge!

    Elle travaille intensément à ses icônes! Elle passe de l'enthousiasme au découragement comme les ciels dessous sa fenêtre! Heureusement ils la portent vers l'horizon et la foi!

     

    La couleur des jours!

    Les ciels d'aujourd'hui dessous ma fenêtre!

     

    "Couleur-Parenthèse" accompagne les siens! En ce moment beaucoup d'épreuves et de maladies dans la famille!

    Elle écoute ceux et celles qui passent près d'elle! Elle s'engage dans les combats pour plus de justice et de fraternité!

    "Couleur-Parenthèse" est engagée à l'ACAT" et dans l'église!

    Elle prépare la feuille de route de l'Avent! Elle réfléchit et médite sur sa foi et son témoignage!

    Elle s'occupe au quotidien de la maintenance de sa maison et porte dans son coeur des peines mais aussi beaucoup d'espérance!

    "Couleur-Parenthèse" prie beaucoup pour ses jeunes, tous les jeunes qui sont victimes aujourd'hui de la violence de l'incrédulité et des très difficiles conditions de travail!

    "Couleur-Parenthèse" a toujours dans son coeur tous les enfants de la terre, les peuples qu'elle aime tant!

    Elle galère comme chacun dans sa vie et sa petite barque est souvent malmenée!

    Au-delà de ses fatigues, "Couleur-Parenthèse" est heureuse de travailler en essayant de donner de la joie , de la paix et de la beauté!

    Elle chante beaucoup et joue du violon pour la paix!

     

    Et heureusement Dieu est là qui nous bénit!

     

    La prière est un engagement social!

     

    Jolie soirée à vous dans la couleur des jours!


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    "Unless"!

     

    Après le travail de la journée, un peu de musique avant d'aller au lit et Soupir!

     

    En attendant demain!

    Hier dessous ma fenêtre!

     

    Dormez-bien!


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    "San Salvador", chanteurs de Corrèze!

     

    Ils demeurent en Corrèze dans un petit village nommé Saint Salvadour. Et oui, ils ont choisi de garder leur origine mais en jouant avec le nom de leur village. Ils s'appellent donc "San Salvador"!

    Ils ont entre 25 et 30 ans! Ils interpellent, décoiffent, bousculent... mais ils déploient un savoir et une performance vocale impressionnante! D'ailleurs, tout leur corps est engagé, propulsé dans la pulsation sonore! C'est impressionnant!

    Ils sont restés attachés à leurs racines, leur patrimoine culturel et ils ont décidé de le réinterpréter à leur façon, très contemporaine.

    Ils chantent en occitan!

    Leurs chants viennent de la mémoire d'une terre. Il y a comme une incantation qui se dégage  de leurs voix. Ils jouent avec des séquences sonores réitérées, les paroles sont lapidaires, les mots essentiels de l'histoire sont aussi répétés. Chacun chante sa partition, improvise tout en gardant une unité rythmique impeccable. Il y a aussi ce continuo ou basse vocale continue que l'un ou deux d'entre eux va tenir tout au long du chant  et qui donne justement cet aspect incantatoire.

    Il y a des élans presque de rage, combattifs comme une lutte! les voix s'exacerbent quasiment au-delà de leur énergie!

    Il y a des passages sensibles de douceur et de tendresse mais la mélodie est toujours en amont comme cachée dans le coeur profond. On la sent présente au-delà de la mémoire comme une instance d'éternité.

    C'est un chant d'infinitude qui pourrait durer comme ça sans arrêt, comme une plainte, comme un cri, comme un appel, un gémissement... un écho du fond des âges!

     

    Nous les avons écoutés en concert ce dernier samedi à La Chaise-Dieu en bravant la pluie et le vent du soir et cela valait la peine!

    Pour finir de vous partager mes impressions, je me suis rappelée cet extrait de "Mes Carnets"

    "les méandres de la mémoire. Ce matin, avec le temps pluvieux et tellement morose de tous ces jours, je me suis souvenue que j'avais noté ce même état de déliquescence dans un de mes carnets. Cela datait de mai 1987.

    La pérennité du temps et de l'espace dans la mémoire est certaine.

    L'éternité et la connaissance de Dieu y sont aussi."

     

    Réveil de mémoire!

    Ciel de dessous ma fenêtre!

     

    Douce soirée à vous!


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    Liz Carroll et John Doyle, "The island Of woods"!

    Je vous invite à écouter cette douce mélodie de Liz tout en contemplant les belles photos de cette vidéo! Elles reflètent exactement le climat ces jours-ci, là où je vis, et de l'ambiance paisible de ma maison.

     

    Ce soir, je vous partage cette prière que j'ai écrite aux Abeillères dernièrement.

     

    Dieu, tu es

    *

    Dieu est ici

    Dieu est ailleurs

    Dieu est chez moi

    Seigneur, Tu es partout Présent.

    Quand nous te prions

    Tu es là

    En secret

    Tu te tiens si près de nous

    Que nous percevons presque

    Ton souffle

    Comme le vent qui passe

    L’air qui vibre

    Ou respire doucement

    Dans le bruissement des feuilles

    Ou encore dans le passage fugace de l’oiseau

     D’un enfant qui joue.

    Je n’ai pas besoin

    D’aller ici

    Ou ailleurs

    Pour te trouver.

    Tu es

    Tout près de moi.

    Tu m’appelles et m’attends

    D’abord chez moi.

    Pourtant je ne le crois pas toujours

    Pardon !

    Et parfois je crains

    Que tu m’aies abandonnée.

    C’est pourquoi je m’en vais parfois

    Ici ou ailleurs.

    C’est alors que je comprends

    Avec évidence

    Que tu es là

    Où je demeure.

    Pourquoi me décourager

    Et me plaindre de ma vie 

    Puisque c’est Toi

    Qui l’habite avec moi

    Là où je suis !

    Mon Dieu, merci !

     

    Dieu, mon familier!

    Aujourd'hui, le feu dans la cheminée!

     

    Je vous souhaite un joli week-end!


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    "Nada te turbe" de Thérèse d'Avila!

     

    Je vous partage ce soir cette très belle et très juste exhortation de Thérèse d'Avila qui m'est revenue ces jours-ci en mémoire. Chaque fois que je la relis, je suis comblée de paix!

    Voici la première strophe en français,

     

    " Rien ne te trouble, rien ne t'effraie,

    Qui a Dieu ne manque de rien.

    Rien ne te trouble, rien ne t'effraie,

    Dieu seul suffit."

     

    Dans la nuit!

    Dessous ma fenêtre le soir du 1er novembre 2017!

     

    Douce nuit à vous!


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